OUI à la modification de la Constitution cantonale (ajustements des freins à l'endettement)
Selon le Grand Conseil, il est toutefois apparu ces dernières années que l’orientation exclusive des freins à l’endettement sur la réduction de la dette ne répond plus aux besoins du canton. Des investissements majeurs sont prévus dans le canton de Berne ces prochaines années, dont en particulier un nombre important de grands projets dans le domaine du bâtiment. Le Grand Conseil a dès lors décidé d’apporter des ajustements modérés aux freins à l’endettement, dont le plus important est l’optique pluriannuelle appliquée au compte des investissements : lorsque le canton a dégagé des excédents au cours des années précédentes, la modification lui donnera la possibilité d’attribuer ces montants au financement des investissements, chose aujourd’hui impossible.
OUI à l'initiative populaire « Pour un congé parental cantonal »
L’initiative pour un congé parental cantonal demande l’introduction dans le canton de Berne d’un congé parental payé de 24 semaines. Celui-ci s’ajoutera aux congés de maternité et de paternité existants. Chacun des parents disposera de six semaines de congé parental. Les parents pourront se répartir librement les douze semaines restantes et prendre le congé parental à partir de la naissance de leur enfant jusqu’à l’entrée à l’école enfantine.
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OUI à la loi sur la protection du climat (contre-projet à l'initiative sur les glaciers)
La loi sur la protection du climat, contre-projet à l'initiative sur les glaciers, permet d'ancrer plus rapidement dans une loi des objectifs climatiques efficaces et des étapes concrètes pour la protection du climat, et de les mettre en œuvre
OUI à l'impôt minimum de l'OCDE
Les grandes entreprises actives au niveau international devraient à l'avenir payer au moins 15% d'impôt sur leurs bénéfices dans chaque pays du monde. Avec l'impôt minimum de l'OCDE, nous garantissons que l'argent du contribuable reste en Suisse.
OUI à la modification de la loi sur le Covid-19
Afin de faire face à d'éventuelles vagues de maladies saisonnières, surtout pendant les mois d'hiver 2023/2024, certains articles de la loi sur le Covid-19 doivent été prolongés jusqu'à l'été 2024.